Tableau, Murale en hommage aux animaux

Bonjour à tous,

Voici le résultat final  de ma petite murale en hommage aux animaux sur le mur de mon salon. Lors des mes publications précédentes, vous avez vu les étapes de création de chacune de mes œuvres de style tribal en papercut. Les fonds ont été conçus avec les encres à l'alcool Distress sur papier Yupo. Les couleurs sont vibrantes et énergisantes et combiné avec les images de style tribal, ceci donne une impression très joyeuse au salon.

Une tranche de vie, un peu d’histoire…   

Bien sûr, les couleurs que nous choisissons pour nos murs ou nos décorations viennent jouer un énorme rôle dans l’ambiance d’une pièce. Celles-ci reflèteront non seulement notre personnalité et nos goûts, mais aussi l’énergie que nous voulons qui se dégagent dans les pièces.

Parfois, nous avons besoin de couleurs reposantes et relaxantes. L'années 2020 est particulière dû au Covid 19 alors après trois mois de confinement et un été à éviter les lieux publics, j’avais le goût d’une décoration colorée dans mon condo.

Donc cet été, j’ai décidé de refaire la décoration de mes pièces une par une, j’ai beaucoup de travail qui m’attend, mais c’est toujours un plaisir de le faire soi-même.

Samedi, je vais publier trois nouveaux tableaux sur le thème des fleurs. A bientôt !

Caméléon, nommé Unwabu

Bonjour les créatifs,

Au Québec, nous vivons présentement une canicule qui n’est pas des plus agréables pour plusieurs personnes. De mon côté, je préfère rester à l’air climatisé dans mon « scraproom » afin de vous publier le dernier tableau de ma série de six. Bientôt, je pourrai les disposer sur le mur de mon salon et ainsi voir le résultat final.

Il a été difficile de choisir un animal, j’ai hésité, mais j’ai fini par opter pour le caméléon. Ce n’est pas un choix qui va plaire à tout le monde, mais je désirais représenter des espèces différentes, dont celle des reptiles. 

Petit rappel : 

Style épuré et contemporain

Grandeur du cadre 10 x 10 pouces

Technique du papercut de style Tribal

Encre Distress à l’alcool sur papier Yupo pour le fond

Cadre de chez Michael’s

Une tranche de vie, un peu d’histoire…   

J’apprécie les caméléons pour leurs couleurs variées, et surtout la capacité chez certaines espèces de la modifier rapidement. En m’informant sur les caméléons, je suis tombé par hasard sur un article du peuple Zoulou d’Afrique du sud et j’ai trouvé amusant un de leur mythe et croyance qui disait ceci : 

« Dans la mythologie zouloue, le caméléon est présenté comme le messager de l’immortalité. Il est ainsi dit qu’un caméléon nommé Unwabu aurait été envoyé par les Dieux pour apporter l’immortalité aux hommes, mais que, prenant tout son temps lors de son voyage, il se fait dépasser par Intulu le lézard qui leur apporte la mortalité à jamais. » 

Magnifique licorne

Bonjour à tous,

Pour mon cinquième tableau de ma série de 6, je désirais rendre hommage aux chevaux que j’aime particulièrement pour leur beauté et leur force physique. Par contre, j’ai décidé de mettre un peu de folie sur le mur de mon salon alors  j'ai choisi un animal légendaire : la gracieuse licorne sur un fond rose et mauve.

Petit rappel : 

Style épuré et contemporain
Grandeur du cadre 10 x 10 pouces
Technique du papercut de style Tribal
Encre Distress à l'alcool sur papier Yupo pour le fond
Cadre de chez Michael's

Une tranche de vie, un peu d'histoire ...   

Cette belle créature est issue de récits d’explorateurs et de représentation attestés de la civilisation de l'Inde (Age de bronze). Au fil des siècles, elle devient l’animal imaginaire le plus important de l’Occident chrétien depuis le Moyen Âge jusqu’à la fin de la Renaissance et encore aujourd'hui. Elle figure souvent dans les récits de fantasy, de féerie, de films et d'émissions.

Au Moyen Âge, la licorne était décrit comme un animal de couleur brun et féroce. Au fil du temps, l’imagerie populaire en a décidé autrement et elle est devenue un grand cheval blanc « magique », avec une corne unique au milieu du front.

Du xvi^e jusqu’au xix^e siècle, la licorne a cohabité avec les animaux réels dans les encyclopédies. L’Historia Animalium de Conrad Gessner, parue en 1551, est considérée comme l'une des premières compilations d’histoire naturelle et le premier à consacré 6 pages sur la licorne. Il identifiera 5  espèces. Jan Johnson, médecin et auteur  de l’Historia Naturalis de Quadrupedibusparu en 1652, quant à lui, en a repérera 8 espèces de licornes basées sur des récits d’explorateurs.

Voici une petite compilation où l'on retrouve de magnifiques licornes  :

La dame à la licorne de Tracy Chevalier, roman historique

De l’autre côté du miroir de Lewis Carroll,

La Dernière Licorne de Peter S. Beagle, 

Legend de Ridley Scott

Unico d’Osamu Tezuka.

Le grand livre des licornes, manuel officiel de Selwyn E. Phipps. (Livre pour enfants)

My Little Pony : les amies, c’est magique ou Mon Petit Poney au Québec.

Romantique Hippocampe

En ce beau jour ensoleillé, je vous présente mon quatrième tableau de la série pour mon salon. J'ai choisi l'hippocampe pour son côté romantique et gracieux sur un fond marin dans les tons de bleu et turquoise.

Petit rappel : 

Style épuré et contemporain
Grandeur du cadre 10 x 10 pouces
Technique du papercut de style Tribal
Encre Distress sur papier Yupo pour le fond
Cadre de chez Michael's

Une tranche de vie, un peu d'histoire ...

Mi-cheval, mi-monstre marin, gracieux, les hippocampes sont maîtres dans l’art du camouflage. Ils sont romantiques pouvant se promener enlacés pendant des heures en se laissant bercer par les vagues. Il existe 32 espèces vivant à travers le monde.

Mesdames, vous aimeriez apprendre que c’est le mâle qui porte les bébés. Un hippocampe appelé James vivant dans la mer des caribes a battu un record en donnant naissance à 1572 bébés. 

Savez-vous que nous avons au Québec, une experte mondiale de l’hippocampe. Madame Amanda Vincent, biologiste à l’Université McGill,  passe une partie de sa vie sous l’eau pour observer les hippocampes.  « Les gens me demandent sans arrêt pourquoi j’aime tant les hippocampes : c’est parce que je ne connais pas d’autre poisson qui vous tienne par la main. ».

Malheureusement, 20 millions de ces petites bêtes par année finissent dans les marchés orientaux. Car, on leur prête des vertus aphrodisiaque ou médicale non prouvées scientifiquement. 

Jolie girafe !

Victoire ! Un troisième tableau de terminé pour mettre dans mon salon. Pour représenté les belles girafes africaines, j'ai utilisé des encre Distress sur papier Yupo dans les couleurs terre de feu (Orange, jaune et brun). Mon tableau est un petit hommage à une belle girafe du zoo de Granby qui a pris sa collation en bavant gentiment sur ma main. 

Petit rappel : 

Style épuré et contemporain
Grandeur du cadre 10 x 10 pouces
Technique du papercut de style Tribal
Encre Distress sur papier Yupo pour le fond
Cadre de chez Michael's

Une tranche de vie, un peu d'histoire ...

Jusqu’en 2016, on pensait que les girafes appartenaient à une seule espèce, Giraffa camelopardalis. Après avoir analysé les gènes de celles-ci, on en a trouvé 4 bien distinctes. Malheureusement, le braconnage a réduit considérablement le nombre de girafes en Afrique. En 2016, il restait moins de 110 000 girafes sur le continent africain toutes espèces confondues et personne ne semblait s’en soucier à ce moment-là.

Selon Julian Fennessy, codirecteur de la Fondation pour la préservation de la girafe (GCF), il s’agit d’une “extinction silencieuse” (National Geographic Magazine, no 241).

En faisant un peu de recherche, on se rend à l’évidence que M. Fennessy a bien raison. Les subventions pour la protection des animaux se concentrent en premier lieu sur les éléphants et les grands singes. M. Fennesy mentionne que les gens pensent que les girafes s’en sortent très bien et ce n’est guère le cas !

Bien dommage ! Car, se sont de magnifiques bêtes. 

L'oiseau de la liberté

Voici le deuxième tableau de ma collection de six pour mon salon sous le thème des animaux. Pour continuer dans le même concept, j'ai utilisé les encres Distress sur papier Yupo de couleurs vert pour la nature vu du ciel.

Petit rappel : 

Style épuré et contemporain
Grandeur du cadre 10 x 10 pouces
Technique du papercut de style Tribal
Encre Distress sur papier Yupo pour le fond
Cadre de chez Michael's

Une tranche de vie, un peu d'histoire...

Ah ! les oiseaux, un univers complexe pour les amateurs tout comme moi. Mais j’ai découvert un site simple et convivial pour l’identification des oiseaux, "Initiation aux oiseaux du Québec par la couleur". Tout à fait génial, un oiseau, une couleur ! Et voilà vous trouvez en un clin d’œil le nom de votre oiseau et ses caractéristiques. Les enfants s’y retrouveront facilement. Ce guide a été créé en 2009 par Donald Lapointe, une célébrité chez les ornithologues québécois. Le site recense plus de 173 espèces d’oiseaux. Amusez-vous cet été à reconnaître ses petites bêtes volantes de votre région. (Québec seulement)

La famille dauphin

Bonjour,

Après quelques problèmes familiaux et du bénévolat, je vous reviens aujourd’hui avec un projet de six tableaux sur le thème des animaux. Je publierai un cadre par semaine et vous pourrai voir l'ensemble du résultat final sur le mur de mon salon. 

Étant donné que je vis dans un condominium, j’ai opté pour un style de cadre épuré, jeune et contemporain de grandeurs 10 x 10 pouces qui va s’agencer avec le reste de ma décoration. 

Évidemment, je ne suis pas un artiste peintre alors j’ai choisi une technique appelée en anglais « Papercut ». Pour découper les dauphins, j’ai utilisé une machine Silhouette. Puis, j’ai terminé à la main les petits détails avec un "cutter", ce qui m’a demandé un peu de patience, car, le papier est fragile.

Pour créer un beau fond de couleur bleu et turquoise, j’ai utilisé les encres à l’alcool Distress sur papier Yupo. J’adore particulièrement ce médium, car on peut l’employer dans bien des projets et sur plusieurs médias. Pour donner un effet de profondeur, j’ai posé des « Dots » adhésives de trois millimètres d’épaisseur entre les dauphins et le papier argent. Les cadres ont été achetés chez Michael’s et j’ai découpé moi-même les passe-partout.

Bien sûr, je continue entre temps à travailler sur l’événement de ma fille « L’Injonction de la confédération » qui a dû être remis à cause du Covid-19. Je conçois toujours des cartes artisanales et je fais de la couture. J’ai trop de projets dans la tête, ouf ! 

Une tranche de vie, un peu d'histoire...

Est-ce que vous vous souvenez de l’émission « Flipper le dauphin » ? Une série télévisée américaine en 88 épisodes, créée par Ricou Browning et Jack Cowden. Elle a été diffusée 1964 à 1967 et rediffusée jusqu’en 2009. Richard O’Barry, l’entraineur a consacré sa vie à la protection des dauphins, car la série a contribué à l’exploitation excessive des dauphins au fil du temps.  Alors, je dédie mon projet en hommage à ces petits dauphins qui nous ont charmés lors de notre enfance. Cinq dauphins femelles ont été dressés pour le tournage.